Médecine globale, dénuée d’effets indésirables, elle fait la preuve de son efficacité au fil des études réalisées. Aujourd’hui le service médical rendu est en effet avéré dans un grand nombre d’indications.
Douze orientations médicales peuvent faire l’objet d’une prescription de cure*
Les maladies chroniques sont le terrain d’élection des cures thermales. Ces dernières permettent une réduction significative des douleurs vasculaires (d’origine artérielle ou veineuse), musculosquelettiques, gynécologiques ou digestives.
Elles jouent également un rôle clé dans l’amélioration de la fonction, de la gestion du stress (dans les suites de cancer, le trouble anxieux généralisé, la fibromyalgie, le burn- out ou les troubles du sommeil) et, entre autres, dans le contrôle du poids.
« La triple clé de cette efficacité ? Les eaux thermales, les techniques de soins et l’éducation à la santé. »
La triple clé de cette efficacité ? Les eaux thermales, les techniques de soins et l’éducation à la santé, le tout dans un environnement clément, aux propriétés climatiques favorables.
La médecine thermale est également recommandée aux patients les plus fragiles, en soin (après un cancer par exemple) comme en prévention. Elle permet de réduire la part des années de vie avec handicap… tout en soulageant le portefeuille des patients et les dépenses de santé, notamment en diminuant le recours aux antalgiques ou aux anxiolytiques, ainsi que la prescription de séances de kinésithérapie.
Pédagogique, elle est aussi l’occasion de comprendre les mécanismes de la pathologie et d’apprendre à mieux vivre avec une maladie chronique. C’est ainsi qu’ont été développés en régions thermales des programmes spécifiques d’éducation thérapeutique agréés par les Agences Régionales de Santé.
*Pour en savoir plus rendez-vous sur https://www.medecinethermale.fr/medecins/les-cures-thermales/cures-conventionnees